Maladie de Parkinson et en comprendre les symptômes

Maladie de Parkinson : symptômes, évolution et diagnostic

 

Les individus atteints de cette maladie de Parkinson constatent une raideur de leur muscle, une lenteur dans leur mouvement ainsi que des tremblements. Il s’agit là des symptômes majeurs. Mais, ces derniers peuvent aussi avoir des troubles digestifs, des dépressions ou la fatigue. Cependant, savez-vous qu’il est possible de réduire l’intensité de cette maladie grâce aux activités sportives ? Pour que le patient bénéfice des avantages du sport, il doit être suivi par un coach sportif et rééducateur. Découvrons tout sur la maladie de Parkinson et les solutions disponibles.

Les symptômes de la maladie de parkinsons

Les symptômes

Les tremblements

 

C’est au moment où les muscles de l’individu sont totalement relâchés qu’ils se manifestent. Dès que ce dernier effectue des mouvements, ils disparaissent aussi tôt. Le tremblement au repos touche le menton, les lèvres, mais surtout les mains ou les bras de façon lente. Les mouvements ressemblent à celui de comptage de monnaie ou de morcellement de pain.

Pendant longtemps, le tremblement peut se manifester de façon discontinue.

 

Trembler ne veut pas dire souffrir de Parkinson

 

Les tremblements sont de plusieurs types. C’est le tremblement d’attitude qui est le plus courant. Il se manifeste dans la tête et dans les mains lorsque l’individu maintient un geste. La manifestation peut ne pas être provoquée et avoir un caractère familial. On parle donc du tremblement essentiel. Elle peut être aussi causée par certains médicaments. Lorsque l’individu est fatigué fortement ému ou prend un excitant comme la caféine, le tremblement peut faire son apparition.

 

L’akinésie : des mouvements lents

 

Dans l’exécution comme dans l’enchainement des mouvements, une lenteur se produit et affecte l’individu dans toute sa vie quotidienne. En effet, pour marcher, ce dernier fait de petits pas. Ces bras cessent de se balancer normalement. Il devra donc fournir beaucoup d’efforts pour changer de côté lorsqu’il dort ou pour se lever de sa chaise. Ces paupières ne clignent plus fréquemment. Peu de mimiques sur son visage qui demeure figé. Sa voix est faible et monocorde. Le patient a beaucoup de mal à boutonner ses habits, à ouvrir un bocal ou à faire un mouvement fin.

 

L’hypertonie : des mouvements rigides

 

Les muscles de l’individu malade sont excessivement tendus à telle enseigne que des douleurs peuvent apparaitre. Aucun muscle du corps n’est à l’abri. Toutefois, la colonne vertébrale demeure son emplacement favori, poussant l’individu à se pencher vers l’avant.

Autres symptômes

 

Hormis les trois symptômes majeurs cités, le patient peut également ressentir d’autres symptômes comme :

·       Les troubles de l’attention et du sommeil avec des nuits agitées,

·       L’affaiblissement des pensées,

·       La démotivation ou la dépression (1 patient sur 2 en souffre),

·       La diminution de la faculté de mémoriser.

Par ailleurs, pendant que la maladie progresse dans le corps, on note la présence d’autres symptômes comme l’amaigrissement ou la constipation qui s’associent sporadiquement. On peut aussi citer les troubles de la déglutition, la baisse de l’odorat et la fatigue accompagnée d’une somnolence.

 

Parkinson : comment le diagnostiquer ?

 

Les symptômes ainsi que les examens cliniques sont les seules bases du diagnostic. Il est conseillé au patient de recueillir l’avis d’un neurologue (un spécialiste) avant de commencer le traitement.

Parfois, certains examens supplémentaires sont prescrits afin d’écarter certaines causes comme les tremblements, la consommation des médicaments antiémétiques ou neuroleptiques, certaines maladies neurologiques, l’intoxication par le biais du manganèse et les autres métaux. Parmi ces examens, il y a l’IRM ou le scanner cérébral qui est un examen d’imagerie cérébrale. Les examens biologiques du sang sont aussi prescriptibles.

Avant de confirmer ledit diagnostic, la maladie doit évoluer pendant plusieurs mois d’abord. De plus, une amélioration doit être constatée à la suite du traitement.

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Parkinson, une ALD (Affection de Longue Durée)

 

Le médecin, après avoir posé le diagnostic, établit une demande de prise en charge pour une ALD. Tous les soins et examens liés à la maladie sont intégralement garantis par l’assurance maladie conformément aux montants. Toutefois, le patient senior peut aussi bénéficier d’un coaching à domicile donné par un coach sportif senior.

 

Parkinson : Comment évolue la maladie ?

 

Le patient suit un traitement aussitôt que le diagnostic est fait. Au début, tout se passe merveilleusement bien, et pendant des années, on constate une amélioration fonctionnelle permanente. Cette période qui s’appelle « lune de miel » dure en moyenne 5 à 7 années. Elle varie d’un patient à un autre. Parfois, elle peut durer environ 10 ans.

À la fin de ladite période, le patient commence par sentir petit à petit des complications motrices (difficulté à contrôler ses muscles). De plus, on note une aggravation de l’hypertonie (rigidité), de l’akinésie (lenteur dans les mouvements) et des tremblements. Des mouvements agités, rapides et non contrôlés encore appelés dyskinésies apparaissent.

 

Sans prévenir, l’individu subit, pendant la journée, des gênes variées. Parfois, il effectue des mouvements sans difficulté. Mais ces mêmes mouvements peuvent lui être difficiles à faire à d’autres moments. On appelle cet effet « On-Off ».

 

Lorsque c’est « On », l’individu est agile et en mouvement. Toutefois, ces mouvements ne sont pas normaux. On parle de dyskinésies.

 

Lorsque c’est « Off », l’individu a une posture instable et à beaucoup de mal à marcher. D’autres signes d’akinésie tels que la forte probabilité de chuter et des blocages majeurs sont présents.

À cause de l’effet « On-Off », le médecin devra réajuster le traitement.

 

Par ailleurs, le patient peut sentir certaines complications telles que :

·       L’hypersudation,

·       Les douleurs neurologiques et musculaires,

·       Les troubles sexuels,

·       L’hypotension orthostatique,

·       L’insomnie,

·       La dépression,

·       Les troubles compulsifs ou psychotiques causés par le traitement dopaminergique,

·       Les constipations, nausées et autres troubles digestifs,

·       Les hallucinations (généralement visuels),

·       La confusion mentale,

·       Les troubles concernant l’équilibre et accompagnés de chutes,

·       La déformation de la posture de façon lente.

 

Cependant, certaines activités sportives permettent de limiter l’atteinte de la motricité des différents membres. Il s’agit entre autres de la musculation, des cours collectifs, du fitness et des coachings à domicile. L’objectif de pratiquer régulièrement une activité donnée afin de booster la libération de la dopamine.

 

 

Pour garantir un excellent accompagnement, n’hésitez pas à contacter un coach sportif à domicile. Vous retrouverez vos fonctions cognitiv

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